Décorer avec Art

Gustav Klimt (1862-1918) a su pour montrer l’esprit de la splendeur vécu Autriche en 1900 dans une seule boîte, mais démissionne pour être un simple chroniqueur de ce que l’écrivain autrichien Stefan Zweig a appelé « l’âge d’or de la sécurité de la classe moyenne ». Il ne savait rien sur la célébrité et a donné aux femmes que l'on retrouve dans ses tableaux, magique et irrésistible, idéaux de femme fatale, mais avec l’âme des êtres mythiques connecté avec plaisir et l’excès. Les hommes, ne pouvait pas entrer la scène avant de Dueñas leur foi dans un plan d’urbanisme. La société austro-hongroise a vécu en parfaite harmonie, une splendeur engourdie avec des manifestations artistiques comme correctes, belle, toujours conforme à l’historicisme. Le confinement femelle forcé était une réflexion plus la répression sexuelle viennois, un terreau idéal pour Sigmund Freud qui a développé dans les années s sexuelle les théories sur l’origine des névroses « Le baiser » (1908), sommet

Sistre égyptien, (sechem). 39cm Reproduction d’un sistre égyptien (Sechen ) à partir de photographies, réalisée en marbre reconstitué (poudre de marbre avec résine). Mesures du Sistrum : Hauteur : 33,5 cm. Largeur : 8,5 cm. Profondeur : 4,5 cm. Mesures avec la base : Hauteur : 39cm. Le sistre peut être retiré de la base pour être utilisé. La déesse représentée est la déesse Hathor . Cette reproduction est basée sur le Sistrum (sechem) original du Musée national du Malawi, catalogué sous le numéro 89, dont la partie supérieure a été restaurée. C’est l’une des pièces qui a disparu lors de la destruction de ce musée par des radicaux islamistes en août 2013. Provenance : Nécropole de Tuna el Gabal. Période gréco-romaine. Faïence bleue originale, 33,5 x 8,5 cm. L’inscription sur la poignée se lit comme suit : « Beau dieu, seigneur des deux terres, vie éternelle ». Le sistre était un instrument de musique cérémoniel utilisé par les prêtresses. Il y avait deux types, le sec